Pourtant, 90 % de la population mondiale n’y a pas ou peu accès.
En effet, les appareils actuels sont coûteux et complexes opérationnellement, car ils reposent sur l’utilisation de champs magnétiques intenses, générés par d’immenses aimants supraconducteurs.
La seule façon d’améliorer radicalement son accessibilité est d’opter pour des champs magnétiques faibles, ce qui a pour effet négatif de diminuer la quantité de signal.
À l’heure actuelle, la voie privilégiée est de compenser la perte engendrée par du traitement statistique et de l’IA.
Cependant, aucune de ces techniques n’a permis à ce jour de créer une machine IRM bas champ répondant aux standards de qualité et de vitesse d’obtention d’images attendues en environnement clinique.
À Chipiron, nous croyons que la seule manière de faire de l’IRM bas champ une réalité clinique est d’envisager une rupture hardware, notamment autour de la performance du système de détection. En utilisant des détecteurs quantiques nommés SQUID, nous sommes en passe de réaliser une telle rupture.
En construisant la première IRM à champ ultra-faible au monde dotée d’une véritable puissance de diagnostic, notre mission est de rendre l’IRM aussi courante et simple qu’une prise de sang, permettant ainsi la prévention et la disponibilité de l’imagerie médicale à grande échelle."